Aprés Robert Venturi et tous les intellectuels du “postmodernisme”, il serait difficile d’innover en la matière. Et pourtant je persiste.
L’ère du pastiche a l’air de toucher à sa fin ou peut-être s’est-elle permissivement diffusée partout de sorte que nous ne pouvons plus la distinguer? L’opération de Jeff Koons à Versaille mérite au moins d’avoir pu en être un paradigme, renvoyant au placard poussiéreux de l’Histoire ce qu’il nous restait de fantasme. (J’adorais dessiner des jardins à la française avec des supers fontaines quand j’étais gosse) Mais ceci n’est pas trés nouveau non plus.
Serait-ce alors nous qui ne pouvons nous mettre d’accord sur ce que l’on voit uniquement sous le régime du divertissement et du spectaculaire?
Il ne s’agit pas de réitérer une critique des dispositifs de contrôle inhérents à ces régimes (Debord incarne pour moi tout ce qu’il y a de plus détestable dans la pensée “française”)