lundi 3 novembre
20 aoutats. Un corp incapable, comme si je tirais sur des fils céllés de ma chair aux murs. Je bougerais peu.
Je pense toujours à lui, surement parceque je ne fais rien de plus, parceque je ne fais rien.
Avant hier, il était mort noyé, je n'ai pas choisi entre le laisser mourir ou lui donner le baiser qui lui rendrait la vie et fuir aussitôt. De toutes façons, à la fin, je suis dans le couloir.
Foutus aoutats, foutus amours.